Les actes de violence ne sont que le signe d’une recherche désespérée d’amour.

De façon dichotomique, celui ou celle qui ne peut réfréner un geste brutal est en demande d’attention, de reconnaissance, de compréhension. Il/Elle a perdu la connexion avec son être intérieur, son cœur, son Âme et souffre de cette solitude qu’il/elle ne peut expliquer. Alors, d’une manière un peu excessive, il/elle tente de le montrer. Parce qu’il/elle se sent dépassé(e) et ne sait comment y faire face.

Il est difficile de faire front paisiblement à un individu violent sans qu’il réveille notre propre part de violence, de colère et d’amertume. Et s’il y a colère et amertume, c’est qu’au fond la souffrance est semblable, sinon pire. Identifions cela. Accueillons-le pour tenter de le transmuter.

Aucun acte de violence n’est à excuser. Mais pourrions-nous peut-être prendre un peu de recul et chercher à comprendre, puis à pardonner ? Ou ne pas laisser nos sentiments haineux diriger nos réactions ?

Se défendre est légitime, mais la défense n’est pas une attaque. C’est aussi un moyen de désarmer l’autre sans faire de dégâts, sans entrer dans son jeu de guerre qui va mettre en péril notre propre bien-être intérieur. C’est se protéger tout en montrant l’exemple. C’est mettre fin au feu qui fait rage… en l’autre et en soi.

 

Questions :

Aujourd’hui, comment serait-il judicieux de réagir face à la violence ? Comment toi, tu pourrais changer quelque chose dans ton comportement, dans ton quotidien et inspirer la paix autour de toi ?

 

Inspiration :

Si tu es capable d’identifier ta propre violence, sans jugement, de reconnaître que l’autre n’est qu’un miroir qui t’oblige à regarder en toi afin de prendre soin, de guérir ce qui a besoin de l’être, tu auras fait un grand pas vers toi-même.

Avec Amour,

 

Nathalie Fargin

Conseillère en psychologie / Inspiratrice de l’Âme

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